19 juin 2008
Menuet
Au fond du ciel les montagnes apparaissent de plus en plus violemment contrastées.
J’écoute maintenant le trio « Soave sia il vento» de Cosi fan tutte qui berce le sommeil de Clara. Et lentement le bonheur m’emplit.
Ma toute écarquillée, mon infante adorée, sans souci de savoir où me mènent ces mots, je t’écris. Pour retrouver la trace de cet enfant qui regardait le monde sans pouvoir le nommer.
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